Levé à l’aube (6 h du matin, alors que gens
pensent que je suis en vacances, c’est l’aube, d’accord?), j’accompagne
Geneviève à son travail. Elle doit quand même rouler plus d’une heure pour se
rendre de Sainte-Anne aux Abymes, près de Pointe-à-Pitre. Geneviève est infirmière territoriale pour la protection judiciaire de la jeunesse de Guadeloupe. C'est par ailleurs grâce à elle si je me retrouve ici pour les Assises.
Max Melin, avec qui je suis en communication depuis quelques mois pour préparer cet événement, vient m'y chercher pour aller rencontrer Myriam Chollet, qui est Directeur-Coordonnateur administratif au Réseau Addictions CEDOSS. J'ai écrit son titre au masculin parce que c'est comme ça sur sa carte...
On discute de la possibilité de faire une formation complète en Guadeloupe. Je propose de communiquer avec Christian Mésenge, directeur du département Santé à l’Université Senghor. Un tel partenariat permettrait peut-être d’intégrer cette formation à un diplôme universitaire reconnu, ce qui attire davantage les participants.
Max Melin, avec qui je suis en communication depuis quelques mois pour préparer cet événement, vient m'y chercher pour aller rencontrer Myriam Chollet, qui est Directeur-Coordonnateur administratif au Réseau Addictions CEDOSS. J'ai écrit son titre au masculin parce que c'est comme ça sur sa carte...
On discute de la possibilité de faire une formation complète en Guadeloupe. Je propose de communiquer avec Christian Mésenge, directeur du département Santé à l’Université Senghor. Un tel partenariat permettrait peut-être d’intégrer cette formation à un diplôme universitaire reconnu, ce qui attire davantage les participants.
Ensuite, j’accompagne Max à son bureau où nous
nous entendons sur le contenu de ma présentation de jeudi matin et de l’approche
pratique de l’atelier de trois heures de l’après-midi. Il me reconduit ensuite
à Sainte-Anne rejoindre Gérard. Comme ancien président du CA du golf de
Saint-François, il m’y amène pour manger. C’est délicieux. Un repas au poisson
frais… c’est vraiment la place pour en profiter.
De retour vers la maison, la pluie commence…
et ne finit pas. C’est ainsi depuis le début de la tempête tropicale Rafaël le
jeudi ou vendredi précédent. Rapidement, le niveau de l’eau monte dans la
piscine, mais aussi sur le terrain. Il faut donc écoper pour évider tout
débordement.
Geneviève arrive du travail sous une pluie
battante et l’orage. L’électricité va et vient… Gérard doit même démarrer une
génératrice afin de permettre la préparation du repas. Heureusement, il y a des
ti-punchs pour nous redonner courage! J’accompagne aussi Gérard chez un voisin,
Christophe, pour emprunter ses bâtons de golf pour le lendemain. On arrive
malheureusement à la noirceur dans ce qui semble être une magnifique villa en
bordure de mer. Christophe nous accueille, en compagnie d’un de ses jeunes
fils, puis arrive sa charmante épouse et l’autre garçon. On me fait visiter la
salle de séjour, où les proprios viennent d’accrocher trois tableaux carrés
dont ils sont très fiers, des portraits peints sur des lettres en trois
dimensions collées sur des planches. Des clous à finir distants d’un cm environ
font le tour des quatre côtés d’environ 50 cm chacun. Puis on me mène sur la
terrasse, auprès d’une piscine creusée qui a la forme d’un large demi-cercle et
qui domine la mer… que je ne vois pas, mais que j’entends, avec les vagues qui
frappent les rochers en contre-bas. Dans une magnifique cuisine très
moderne, avec un toit «cathédrale», un peu comme dans la salle de séjour à
Sutton, Christophe nous offre un autre ti-punch, alors que sa copine s’occupe de
coucher les enfants. Deux chirurgiens-dentistes… pas trop de problème d’argent semble-t-il!
De retour à la maison, le repas est agréable.
La pluie s’est calmée. Je fais quelques longueurs de piscine et me couche vers
minuit.
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